Peux-tu croire ce que j’ai lu dans un tweet de Gilles Brien? En gros, il expliquait que la responsabilité de l’urgence climatique ne devrait pas être confiée au Premier ministre, mais plutôt à la police. Selon lui, la situation est si grave et l’approche actuelle si nonchalante que cela frôle la criminalité. Gilles pense qu’il est temps de confier la gestion de la crise climatique aux forces de l’ordre, car l’inaction face à cette menace est presque criminelle.
Je me demande parfois pourquoi des personnalités publiques comme M. Brien adoptent de telles positions. Plusieurs hypothèses sont possibles. La première, c’est la recherche de clics : attirer l’attention sur soi en provoquant la controverse. La deuxième possibilité, c’est le militantisme : des personnes engagées qui veulent pousser un agenda, mais dont les résultats peuvent être mitigés si leur discours est trop alarmiste. Enfin, la troisième possibilité mêle militantisme et narcissisme : l’idée est de faire parler de soi en utilisant l’exagération, tout en flattant son ego en attirant l’attention des autres personnalités médiatiques.
Honnêtement, il est difficile de comprendre la logique derrière des interventions aussi étonnantes que celle de Gilles Brien. Néanmoins, il est important de se rappeler que la plupart des gens sont conscients de la nécessité de protéger notre planète, sans pour autant penser qu’il faut donner davantage de pouvoir aux policiers pour s’occuper de cet enjeu. Quoi qu’il en soit, ces différentes hypothèses nous aident à essayer de comprendre ce qui motive de telles prises de position.