Au Canada, t’as le droit de prier Allah dans la rue.
T’as le droit de scander « free Palestine » à pleins poumons.
Mais si tu veux chanter « Jésus t’aime » avec une guitare dans un parc… t’es OUT.
Ce qui se passe avec Sean Feucht, c’est franchement dégueulasse.
Un chanteur chrétien américain. Croyant. Conservateur.
Il veut venir ici, louer un lieu public comme ExpoCité à Québec ou un parc à Gatineau pis chanter ses tounes de louange avec sa gang. Rien d’illégal. Rien de violent. Juste un show de musique chrétienne.
Mais parce qu’une poignée de militants wokes crient fort et s’indignent à la moindre note, les villes plient les genoux.
Québec annule. Gatineau annule. Halifax annule. Tout le monde suit.
NOS ÉLUS SONT DES LÂCHES DE CALIBRE INTERNATIONAL.
Depuis quand on refuse l’accès à un lieu public à un artiste parce qu’on n’aime pas ses convictions?
S’il avait été un imam ou un militant progressiste, on lui aurait déroulé le tapis rouge.
Mais là, c’est un chrétien conservateur?
Cancellé.
Pendant ce temps, des prières de rue islamistes, des manifs radicales propalestiniennes, des prêcheurs comme Adil Charkaoui qui parlent de califat…
Ça passe comme une lettre à la poste.
Encore une fois : deux poids, deux mesures.
Pis ce n’est pas juste frustrant.
C’est une violation déguisée de la liberté d’expression, de conscience, de religion.
Et les osties de médias, comme toujours, sautent là-dedans à pieds joints.
Ils le traitent de raciste, d’homophobe, de MAGA extrémiste… sans preuve.
Juste des étiquettes, pour mieux le démolir.
Parce qu’il est chrétien. Parce qu’il ose être conservateur publiquement.
Come on!
Si t’aimes pas ça, ben va pas le voir.
Mais laisse les autres y aller. C’est aussi leur liberté que vous brimez.
Et je le dis franchement : j’espère qu’il va poursuivre ces villes-là jusqu’à la dernière cenne.
Qu’il fasse jurisprudence.
Parce que si on accepte que ça passe, demain, c’est ta parole qu’on va censurer.
Pis en plus, ce gars-là, il n’est pas n’importe qui.
Il est connu. Il a des contacts dans le Parti républicain.
Vous pensez que Donald Trump ou le Congrès ne vont pas entendre parler de ça?
Dans un contexte de guerre commerciale, de tensions diplomatiques, de renégociations d’accords vitaux…
C’est tellement brillant de traiter un artiste américain comme une menace publique…
Encore une fois :
La liberté d’expression au Canada est devenue une blague.
Et c’est toujours les mêmes qu’on fait taire.
Liberté d’expression conditionnelle : signe des temps.